Collectif Résistance et Libertés

Sommaire

Introductionretour au sommaire

La gestion de la crise sanitaire du covid s’est concrétisée par l’adoption tant par l’Union européenne que par les autorités politiques de notre pays d’un arsenal de mesures liberticides, policières et antisociales, humainement destructrices et ignorantes des équilibres écologiques. Tout semble se mettre en place pour pérenniser une situation d’exception de plus en plus insoutenable et politiquement dévastatrice.

Nous n’acceptons pas ce coup d’État sociétal sans précédent, cautionné par des partis politiques de plus en plus déconnectés du réel et soumis à un clergé technoscientiste autoritaire, arrogant et sectaire.

Constatant le désarroi voire le désespoir de bon nombre de nos concitoyens, nous pensons que l’heure est venue d’entrer en résistance et de constituer un Collectif associatif et citoyen déterminé à s’opposer par tous les moyens légitimes et non violents aux mesures qui sont prises à l’encontre des droits fondamentaux et des droits sociaux garantis par la Constitution belge, la Charte européenne des droits fondamentaux et les traités internationaux.

Nous voulons que le monde d’après ne soit pas le monde d’avant en pire, avec les Big data, Big Pharma et autres nuisibles à la barre.

Nous voulons un monde plus juste, plus humain, plus responsable, enfin respectueux du monde vivant et des équilibres écologiques.

Nous voulons que nos enfants et petits enfants puissent vivre et s’épanouir en personnes responsables dans un environnement écologique et social pacifié et sain.

Qui sommes-nous ?retour au sommaire

Le Collectif Résistance et Libertés a été créé en 2021 à l’initiative de Paul Lannoye avec le soutien des personnes suivantes : Alain Jossart, Aryan Afzalian, Bernard Legros, Carole Vanoeteghem, Corine Dehaes, Daniel Zink, Emmanuel Mignolet, Fatiha Aïd Saïd, Francis Leboutte, Geneviève Hilgers, Jean Mergelsberg, Martine Dardenne, Pierre Stein, Sylviane Roncins, Thierry Vanderlinden et Valérie Tilman.

La charte du Collectifretour au sommaire

La gestion de la crise sanitaire par les autorités publiques – tant nationales qu’européennes – a consisté essentiellement à n’imposer que des mesures coercitives et répressives au nom de la préservation de la seule santé physique des citoyens, et lesdites autorités ont fondé ces diverses mesures sur un discours « scientifique » univoque émanant d’un petit groupe d’experts (souvent en conflits d’intérêts). En outre, toute critique ou remise en cause de ce discours émanant d’autres scientifiques et d’intellectuels de diverses disciplines est systématiquement disqualifiée - non pas par une confrontation constructive des différentes opinions - mais simplement en taxant leurs auteurs de complotiste et/ou d’extrême droite.

On a donc assisté à l’instauration d’une « pensée unique » véhiculant une somme de vérités érigées en dogmes qu’il est impossible/interdit de contredire : le port du masque, le confinement et le couvre-feu réduiraient le risque de contagion, les tests PCR seraient indispensables pour détecter les « cas », les services de soins intensifs seraient saturés à cause du nombre de malades Covid, seule la vaccination arriverait à endiguer la pandémie, et surtout la Covid-19 serait une maladie très dangereuse et même mortelle…

Lire la suite (PDF).

Mise en demeure de l’AVIQ (campagne de vaccination de septembre 2022)retour au sommaire

L’AVIQ (Agence wallonne pour une vie de qualité) organise une nouvelle campagne de vaccination anti-covid à partir du 12 septembre 2022 : « Comme vous le savez, la vaccination reste la meilleure option pour se protéger des formes graves du Covid-19. En conséquence, le gouvernement wallon lance dès ce mois de septembre sa “campagne d’automne” de vaccination et (re)vaccination ». À la suite de cette annonce qui s’apparente à de la propagande sans nuance aux dépens d’une information correcte du public, le Collectif Résistance et Libertés a fait parvenir à l’AVIQ une mise en demeure :

Recours contre le décret wallon « pandémie »retour au sommaire

Le décret wallon « pandémie »

Le Parlement wallon a voté le 3 février 2022 un décret « pandémie » par lequel il accorde un pouvoir exorbitant au Ministre de la Santé et à l’exécutif, pour prendre des mesures coercitives à l’égard des citoyens suspectés d’une maladie infectieuse selon des critères si peu précis qu’ils permettront toutes les dérives, en particulier en termes de restriction des droits des citoyens !

Morceaux choisis, extraits de l’article 16 du « décret modifiant le Code wallon de l’Action sociale et de la Santé » :

Toute « personne suspectée » devra « subir les examens nécessaires » et un « traitement médical approprié, préventif ou curatif » (à n’en pas douter, la vaccination entre dans cette catégorie). Si la personne refuse, elle sera contrainte à « l’isolement » qui s’effectuera soit « au sein d’un service hospitalier », soit « à domicile », soit « dans un autre lieu approprié à cet effet » (nos ministres souhaitent-ils des camps d’internement à la chinoise ?).

« En cas de péril grave et imminent » (une notion parfaitement non définie), « les inspecteurs d’hygiène régionaux, les médecins ou les infirmiers … ont le droit de s’introduire en tout lieu ayant été fréquenté par les personnes atteintes d’une maladie infectieuse ou par les animaux contaminés ou suspectés de l’être, en vue de la prise de mesures prophylactiques ».

Ils « ordonnent si nécessaire … l’isolement, le traitement et, si nécessaire, la mise à mort et l’incinération d’animaux contaminés ou suspects de l’être » de même que « la fermeture totale ou partielle d’un lieu, d’un espace ou d’une installation ».

« Le Gouvernement adopte toutes les mesures nécessaires ou utiles à la mise en œuvre [de ces mesures] ». Un véritable chèque en blanc accordé au pouvoir exécutif !

D’autre part (article 20) :

Les personnes qui ne respectent pas les mesures ordonnées par les inspecteurs, « entravent leurs missions » ou qui « fournissent des données incomplètes » sont « punies d’un emprisonnement de huit jours à six mois et/ou d’une amende de 1 à 500 euros ».

En savoir plus :

Recours en annulation du décret pandémie

Grâce au soutien de 193 donateurs qui ont permis d’atteindre le budget requis, le Collectif Résistance et Libertés introduira un recours en annulation de ce décret devant la Cour Constitutionnelle (91 de ces personnes se sont portées requérantes du recours). Le recours a été déposé en août 2022 par l’avocat du Collectif, Maître Fernand Schmitz.

En savoir plus :

Tract à propos du décret pandémie

Autres résistances

Faut-il se faire injecter une 4e, 5e, 6e… dose contre la Covid-19 ?

21 médecins et scientifiques apportent leurs éclairages.
Découvrez les résumés de leurs propos ainsi que des liens vers les vidéos de leurs interviews : vaccin-c19.info

Lettre ouverte en réponse à l’article du « Soir » du 3 novembre 2022, « Citer à comparaître pour avoir vacciné »

En septembre 2022, une patiente, présentant des troubles neurologiques graves après avoir été vaccinée contre le covid, porte plainte contre sa docteure. Dans le journal Le Soir du 3 novembre paraît un article titré « Citer à comparaître pour avoir vacciné » qui surprend par son imprécision, ses omissions et sa partialité. Entre-temps, la docteure avait aussi signé un billet dont les propos particulièrement insultants sont repris en partie dans l’article : « La plaignante est parvenue à trouver des pseudo-médecins ayant rédigé des pseudo-attestations affirmant des pseudo-liens entre son état et ma seringue du Big Pharma… Le secret de l’instruction ne me permet pas de les citer, mais vous aurez deviné qu’on retrouve tous les druides des sphères antivax et complotistes de la Belgique francophone, certains virés de quelques hôpitaux pour les mêmes raisons ».

En réponse à l’article du Soir, lire la lettre ouverte d’un collectif d’associations (le 21 novembre 2022).

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